Il aurait fallu entreprendre de longues démarches pour prolonger le bail. François
Da Ros n'eut pas la force de se battre, d'autant qu'il tomba gravement en maladie pendant un an. Alors qu'il pensait prendre sa retraite petit à petit à partir de soixante ans, le sort en décida autrement. Il ne trouva aucun acquéreur pour ses machines. Découragé, et faute de pouvoir les déménager,
il fut obligé d'en casser trois. Désormais remis de sa maladie, François Da Ros décida de mettre fin à sa carrière commerciale de typographe et de se consacrer à son oeuvre.